Tous les vendredis, je partage mes meilleurs conseils sur comment :
  • Te faire voir, connaître et reconnaître grâce au web, avec ou sans réseaux sociaux
  • Faire de ton business un safe space où tu peux t’épanouir et contribuer
  • Passer de l’entrepreneure à CEO et établir ton autorité dans ton industrie et à l’intérieur de ton écosystème business

Moi, c’est Tatiana

5 choses que tu dois savoir sur moi avant d’embarquer

1

J’ai bâti ma notoriété d’entrepreneure alors que j’avais un job à temps plein…

et ce, sans que personne ne le sache!

Les deux premières années de son existence, Aime Ta Marque m’a ramené 10k et 20k (avant dépenses). Ça a l’air de peu, mais ça s’ajoutait à mon salaire de 80k que je faisais comme salariée. Quand je suis tombée en congé de maternité, j’ai fait ma première année à 100k exclusivement avec mes contrats de coaching et de consultation.

 

Traduction : je sais comment gérer les modalités atypiques de l’entrepreneuriat pour que ton business croisse de façon flexible et adaptative. Et je peux te montrer comment.

2

Je suis hypersensible

et introvertie

(et probablement HPI)

Ça, plus ma tendance à l’ultra-indépendance, a rendu le salariat un vrai champ de mines antipersonnelles. On me trouvait too much, on me trouvait intense, j’avais zéro envie de jouer les petites games politiques. Bref, je m’y sentais comme une alien.

 

Bâtir un business dans lequel je me sentais reconnue, respectée et safe d’être moi-même, ça a toujours été ça ma motivation principale… et c’est ce que je veux pour toi également.

3

Je suis une bonne élève en rémission et une rebelle bien adaptée.

Au secondaire, j’étais la kid avec les meilleure notes de la classe qui s’habillait en punk et fumait de l’herbe. Ça a toujours été important pour moi de me libérer de la camisole de force des attentes qu’on mettait sur moi tandis que je naviguais la structure tellement réductrice de ce qui était “acceptable” pour une fille/femme.

 

Aujourd’hui, j’aime savoir que la plupart de mes clientes sont des dissidentes à leur façon. Unies avec toutes les sorcières, activistes, innovatrices, rebelles refoulées qui ont envie de brasser les cages de leurs industries. ✊

4

Je suis devenue féministe
tard dans ma vie.

J’ai entendu parler de féminisme pour la première fois alors que j’étais dans ma vingtaine (même si comme enfant j’avais bien saisi que j’aurais eu mieux fait de naître homme). Quand j’ai commencé à me demander pourquoi j’avais autant d’anxiété au moment de de penser à mes ambitions (personnelles et professionnelles), c’est là que tout a commencé à faire sens.

 

Aujourd’hui je m’appelle sans complexe une coach féministe. Ces lunettes sur le monde me permettent de naviguer ma réalité de femme avec compassion, courage et intelligence. Et c’est cette approche — non-hiérarchique et non-culpabilisante — que j’amène dans mes programmes et accompagnements.

5

Je cultive

mes paradoxes.

Je ne crois pas dans les oppositions simplistes, car une vie en Noir et Blanc, c’est ennuyant après un temps.

 

J’aime l’argent ET l’intégrité. J’aime le plaisir ET la complexité. J’aime le luxe ET la profondeur.

 

Ce que tu appelles une contradiction, j’appelle ça de la richesse. Et c’est ce que je cultive dans mes espaces. Parce que je veux vivre dans un monde plein de couleur où on est capables de voir la beauté dans notre humanité.

2

Je suis hypersensible

et introvertie

(et probablement HPI)

Ça, plus ma tendance à l’ultra-indépendance, a rendu le salariat un vrai champ de mines antipersonnelles. On me trouvait too much, on me trouvait intense, j’avais zéro envie de jouer les petites games politiques. Bref, je m’y sentais comme une alien.

 

Bâtir un business dans lequel je me sentais reconnue, respectée et safe d’être moi-même, ça a toujours été ça ma motivation principale… et c’est ce que je veux pour toi également.

3

Je suis une bonne élève en rémission et une rebelle bien adaptée.

Au secondaire, j’étais la kid avec les meilleure notes de la classe qui s’habillait en punk et fumait de l’herbe. Ça a toujours été important pour moi de me libérer de la camisole de force des attentes qu’on mettait sur moi tandis que je naviguais la structure tellement réductrice de ce qui était “acceptable” pour une fille/femme.

 

Aujourd’hui, j’aime savoir que la plupart de mes clientes sont des dissidentes à leur façon. Unies avec toutes les sorcières, activistes, innovatrices, rebelles refoulées qui ont envie de brasser les cages de leurs industries. ✊

4

Je suis devenue féministe
tard dans ma vie.

J’ai entendu parler de féminisme pour la première fois alors que j’étais dans ma vingtaine (même si comme enfant j’avais bien saisi que j’aurais eu mieux fait de naître homme). Quand j’ai commencé à me demander pourquoi j’avais autant d’anxiété au moment de de penser à mes ambitions (personnelles et professionnelles), c’est là que tout a commencé à faire sens.

 

Aujourd’hui je m’appelle sans complexe une coach féministe. Ces lunettes sur le monde me permettent de naviguer ma réalité de femme avec compassion, courage et intelligence. Et c’est cette approche — non-hiérarchique et non-culpabilisante — que j’amène dans mes programmes et accompagnements.

5

Je cultive

mes paradoxes.

Je ne crois pas dans les oppositions simplistes, car une vie en Noir et Blanc, c’est ennuyant après un temps.

 

J’aime l’argent ET l’intégrité. J’aime le plaisir ET la complexité. J’aime le luxe ET la profondeur.

 

Ce que tu appelles une contradiction, j’appelle ça de la richesse. Et c’est ce que je cultive dans mes espaces. Parce que je veux vivre dans un monde plein de couleur où on est capables de voir la beauté dans notre humanité. 

Si tu sens que ça résonne, c’est qu’on vient de la même planète

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