Ep. 100 Hommage à mes mentors business

 
Pour moi, tu le sais bien, l’entrepreneuriat est un gros travail de développement de soi. Et c’est un travail qu’on ne fait jamais seule. Les gens qui nous entourent ont une influence très marquante sur notre parcours, sur nos ambitions et sur qui on s’autorise à devenir.
 
C’est pourquoi on se doit sélectionner notre entourage précieusement, que ce soit les personnes que l’on côtoie au quotidien ou bien celles qu’on laisse entrer dans notre tête à travers le contenu que l’on consomme. Quoi de mieux pour marquer le milestone du 100ème épisode de L’Ambition au Féminin que de vous partager et rendre hommage à mes mentors, ceux qui m’ont inspiré et épaulé depuis mes tout débuts.

 
Ces entrepreneur.es m’ont aidé à cheminer en tant que femme d’affaires, en tant que leader, mais, en tant que femme. Je peux avec toute la gratitude du monde dire qu’à travers les dernières années, ces mentors m’ont influencé, chacun à leur façon, à faire de moi la meilleure version de moi-même. Dans l’épisode d’aujourd’hui, je te parle donc de :
 

  • Mon processus décisionnel quand il a été question de choisir des coachs ou des mentors selon le stade de business auquel j’étais rendue
  • Sur quoi je base mes critères très spécifiques de sélection
  • L’importance d’investir dans un coach pour t’aider à développer ta business
  • Pourquoi développer son savoir-être pour améliorer son savoir-faire est le meilleur focus business que tu peux te donner

Voilà donc pour ce bel épisode qui m’a permis de replonger dans mes débuts et mon évolution. Et j’en profite pour te demander à toi, qui sont tes mentors et tes coachs qui ont le plus influencé ton parcours? Comment peux-tu les remercier?

Mentionné dans cet épisode :

2016-2018

 

2019-2020

 

2021

 

Transcription de l’épisode 100

Ep. 100 Hommage à mes mentors d’affaires.mp3 – powered by Happy Scribe

Dans l’épisode d’aujourd’hui, je mets le plein feu sur les mentors qui m’ont permis de créer une « business » dans les multiples six chiffres dans laquelle je me sens bien et épanouie. Vous écoutez l’ambition au féminin, épisode 100. Mon nom est Tatiana St-Louis, et j’anime l’ambition au féminin, un podcast pour toutes les femmes pleines de vision, de talent et de « drive » qui désirent redéfinir le succès selon leurs termes et leurs conditions. Chaque semaine, j’explore seule ou en présence d’invitées les thèmes entourant la réussite professionnelle et personnelle: « mindset », productivité, leadership, « branding » personnel. C’est le rendez-vous pour réfléchir à la façon dont tu veux vivre ton plein potentiel et laisser ton empreinte dans le monde. Salut les ambitieuses, comment vous allez aujourd’hui? Moi, ça va super bien. On est rendus à l’épisode 100, je n’en reviens juste pas! C’est tellement… Je ne sais pas. Je me suis toujours vantée qu’il y avait presque 300 articles de blogue sur Aime Ta Marque. Mais là, maintenant, avec 100 épisodes de l’ambition au féminin, je trouve que j’ai atteint un autre « milestone » de contenu. Et je veux en profiter pour vous remercier de votre écoute, de votre présence, des beaux commentaires que vous me donnez semaine après semaine, sur les entrevues, sur les contenus, sur les différentes réflexions que je fais ici avec vous et qui sont vraiment ça… Tu sais, l’ambition au féminin, c’est vraiment un espace de réflexion dans lequel je vais explorer des choses que j’ai l’impression que je n’aurais pas nécessairement exploré par moi-même si je ne m’en étais pas donné l’opportunité à travers le contenu, à travers des questions que vous posez, à travers, aussi, juste structurer aussi la pensée autour de l’expérience entrepreneuriale, de l’expérience d’être une femme qui veut réussir, mais pas à toutes les sauces. Qui veut vraiment réussir d’un point de vue professionnel, mais aussi personnel. Et puis bon, je pense que même en 100 épisodes, j’ai beaucoup évolué et j’ai beaucoup appris avec vous. Donc merci, merci, merci. Aujourd’hui, pour marquer ce « milestone », je me suis dit que ça serait probablement intéressant que je fasse un épisode hommage, c’est-à-dire un épisode hommage à mes mentors, mes coachs, les personnes qui m’ont inspirée et qui m’ont aidée à cheminer à travers les dernières années, en tant qu’entrepreneur, en tant que femme. Parce qu’on s’entend, moi, la façon dont je vois l’entrepreneuriat, c’est aussi un gros, gros, gros travail de développement personnel, de développement de soi. Et ce travail-là, c’est rare qu’on va le faire seule. Je suis sûre que vous comprenez vous aussi à quel point c’est important de bien s’entourer. Puis, quand je dis bien s’entourer, je ne dis pas juste d’avoir des coachs ou d’engager des gens, mais aussi le contenu qu’on consomme, les gens qu’on laisse entrer dans notre tête. C’est pas mal ça, pour moi, quand je pense à qu’est-ce que c’est bien s’entourer. Et on apprend aussi à mieux se connaître à travers ce dont on a besoin. Et c’est ça que j’ai toujours trouvé vraiment fascinant avec l’entreprise. Puis, à travers cet épisode où je vais vous parler de mes mentors, comment mes besoins en tant qu’entrepreneur, en tant que femme ont évolué aussi. Et l’aide que je suis allée chercher pour, justement, m’aider à dépasser, peut-être, des blocages, des façons de voir, des façons de faire, des façons de penser. Et bon, voilà! Donc, sans plus attendre, je commence tout de suite. Je l’ai fait vraiment d’une façon chronologique, justement, pour garder cette idée qu’il y a eu cette évolution. J’espère que vous allez trouver ça intéressant de savoir un peu c’était quoi ma réflexion autour de ça. Donc, comme vous le savez probablement, j’ai lancé Aime Ta Marque en 2016. J’étais alors employée à temps plein pour une entreprise dans les services financiers. Et ça n’a pas été long, après que j’ai lancé Aime Ta Marque, que j’ai obtenu un poste, vraiment un poste de rêve pour moi, dans une université, dans le service des communications et du markéting pour piloter le département, qui n’existait pas vraiment encore, des études supérieures d’une université ici à Montréal qui est une très, très grosse université. Et, pour moi, c’était vraiment une grosse réussite. C’était un de ces emplois qui sont extrêmement bien payés. Des super bonnes conditions. Et en plus de ça, j’avais l’espace, aussi, de me développer. Ça fait que, tu sais, j’allais lancer Aime Ta Marque à temps plein, et là, cette opportunité s’est présentée à moi et ça a fait que bon, ce qui était supposé être une entreprise à temps plein s’est transformé en une entreprise à temps partiel encore un moment, parce que je voulais vivre encore cette expérience en emploi. Et je ne voulais pas… Je sentais qu’il fallait que je vive quelque chose à ce moment-là. Mais, je ne voulais pas non plus laisser de côté mon projet Aime Ta Marque, qui avait maintenant germé en moi et qui m’appelait, ça m’appelait. C’était juste nécessaire, pour moi, de continuer dans cette voie-là. Et, en 2016, alors qu’il y a beaucoup de personnes dans… À ce moment-là, ce qui est intéressant, c’était le début des groupes Facebook. Ça n’existait pas vraiment jusqu’à maintenant. Tu sais, Facebook, c’était vraiment, bon, on partage des photos avec nos amis, tatati, tatata. Et je me rappelle, en 2016, il y a eu un avènement des groupes Facebook et aussi de tout le discours « girl boss », tu sais, Sophia Amoruso… Et un des premiers groupes auxquels je me suis jointe, c’était le groupe « Girl Boss », ou je ne me rappelle plus comment ça s’appelait, qui, aujourd’hui, a changé de nom pour Les femmes de tête. Et, dans ce groupe-là, j’ai rencontré plusieurs entrepreneurs qui soit se lançaient à ce moment-là ou que ça fait quelque temps qu’ils étaient dans la « business » en ligne. Encore une fois, un monde que je ne connaissais pas. Et je me rappelle avoir rencontré, notamment, il y avait Annie Passalaca, il y avait Annelise Gakalla Bourdier et Rim Boukhssimi, qui sont trois personnes qui étaient vraiment là à mes touts, touts, touts débuts. Puis même encore, des entrepreneurs à qui je parle aujourd’hui. Tu sais, Catherine Cormier, qui a le groupe Vie de pigiste. Je vous avertis d’avance, ça va être un épisode de « name drop ». Je m’entends déjà parler de tous ces noms, mais je vous avertis. Et puis, c’est ça. Donc, ici, au Québec, vu qu’on est une petite population aussi… Et là, on nichait encore plus. On était dans l’entrepreneuriat plus féminin et on nichait encore plus, on était dans l’entrepreneuriat en ligne féminin. Et le groupe de personnes que j’ai rencontré à ce moment-là, je les vois encore aujourd’hui réussir dans leur « business », et c’est vraiment, vraiment beau à voir. Mais, j’aime me rappeler de ce moment quand on était toutes dans ce balbutiement d’un groupe qui avait peut-être 300 personnes quand je l’ai joint et qui, aujourd’hui, en a plus de 20 000. Et, dans ces personnes que j’ai rencontrées, Rim Boukhssimi, justement, qui s’appelait alors la fille du web, est quelqu’un avec qui j’ai connecté très, très rapidement. J’aimais beaucoup son… Non seulement elle venait du monde journalistique, tu sais, elle avait travaillé dans les magazines. Et puis moi, je connaissais le monde éditorial aussi, mais elle avait de l’expérience dans la mise en place de structures de « business » en ligne. Et puis, je me rappelle, c’était une des premières coachs que j’ai engagées alors que mon entreprise, naturellement, ne faisait pas de revenus, ou du moins, en faisait très peu, avec une formation que j’avais lancée sur la rédaction web. Et puis, je ne faisais pas des tonnes et des tonnes d’argent. Mais la bonne nouvelle, c’est que vu que j’étais en emploi, j’avais quand même des moyens pour investir dans mon entreprise. Donc, j’ai fait un coaching avec Rim. Rim a été une conseillère de longue date. Elle l’est encore aujourd’hui, même si on se parle moins, à chaque fois que j’avais des questions ou des problématiques, des nouveaux défis que je rencontrais, elle m’a toujours donné de la perspective sur ce que je faisais. Et je pense que Rim m’a aussi beaucoup donné confiance dans mon projet, parce qu’elle voyait le potentiel de ce que j’étais en train de créer. Elle voyait comment je communiquais publiquement, aussi, à travers mes articles, à travers tout ce que j’étais en train de bâtir. Et elle comprenait aussi là où je voulais aller. Ça fait que Rim m’a aidée plus avec la structure, les automatisations, m’introduire aux outils, m’introduire aux façons de faire. C’est le premier contrat que j’ai signé avec quelqu’un dans ce domaine-là, donc j’ai pu voir comment elle fonctionnait. Et ça, ça m’a beaucoup aidée au niveau plus, je dirais, pas technique, mais il faut se mettre les mains dedans. C’était aussi une façon pour moi de m’engager. Pour moi, je voulais absolument la payer, parce que je voulais m’engager dans ce projet, dans Aime Ta Marque. Puis je ne voulais pas que ça soit juste un « hobby ». Et je me disais bon, je vais prendre ça au sérieux. Je vais investir des fonds, parce que si je ne suis pas prête à investir dans ma « business », qui va être prête à investir en moi? Donc, il y avait Rim et, parallèlement, naturellement, tu sais, là, je vous ai dit, ce n’est pas nécessairement toujours des coachs qu’on doit engager, mais, tu sais, moi, une des premières coachs, naturellement, que j’ai suivies, ou des professionnels de ce milieu-là, c’était Amy Porterfield, avec son podcast. Je ne sais pas si elle avait son podcast à ce moment-là. J’imagine que oui, Online Marketing Made Easy. Donc Amy Porterfield, qui est parallèlement aussi le premier cours en ligne que j’ai acheté en lien avec la « business » en ligne. Et c’était pour du « list building », parce qu’Amy Porterfield travaille beaucoup au niveau du contenu organique et des stratégies de visibilité à ce niveau-là. Et ça, justement, ça m’a donné un premier aperçu de c’était quoi consommer un produit d’information, un cours en ligne comme ça, le degré de qualité que ça impliquait. Parce que j’ai toujours respecté à quel point Amy Porterfield était « sharp ». Elle l’est toujours. Elle est « sharp » dans la façon dont elle présente ses contenus, dans la façon dont elle travaille. Et puis ce degré de professionnalisme, ça m’impressionnait beaucoup. Donc, ces années-là, 2016 à 2018, c’était beaucoup ça. C’était du « networking », apprendre à connaître les gens, mais faire ces coachings-là et aussi m’informer beaucoup, travailler beaucoup de mon côté, lire beaucoup de livres, autant au niveau personnel que professionnel. Les livres qui m’ont beaucoup transformée à cette étape-là, c’était beaucoup lié avec la légitimité, naturellement. Dans les premières phases de notre entreprise, on travaille beaucoup avec le syndrome de l’imposteur. Donc Brené Brown, Carol S. Dweck, avec son livre Mindset. Donc, c’était vraiment axé là-dessus. C’était comme OK, là, je m’embarque dans cette aventure entrepreneuriale là. Il faut qu’en plus, vu que j’ai une « job » à temps plein, est-ce que je me sens vraiment légitime? Est-ce que je me sens vraiment que j’ai ma place dans ce monde entrepreneurial là? Et puis ça a été le « fun », parce que j’ai vu à quel point les gens étaient accueillants, surtout du point de vue entrepreneuriat en ligne féminin francophone. Et voilà, donc ça a été beaucoup ça. J’avais mes petits « masterminds » aussi, avec Rim et Annelise, qui ont perduré pendant un bon temps. On allait prendre des cafés, on se parlait de comment ça se développait. Puis, même chose, Annelise avait une entreprise à temps partiel. Elle était employée à temps plein au moment où elle a lancé son entreprise web. Et elle, elle avait beaucoup plus d’expérience en termes de construire des communautés, puis utiliser les réseaux sociaux pour le faire. Donc, j’étais bien entourée, disons. Je me sentais la plus « débutante », mais ça ne me dérangeait pas, parce que je savais qu’à quelque part, moi, je suis quelqu’un qui a confiance dans sa capacité d’apprentissage et que quand je veux quelque chose, je m’y mets à fond. Et puis je sais que je suis capable de donner un degré de qualité assez élevé. Mais c’était ça, apprendre à naviguer ces espaces-là, apprendre à trouver aussi ma voie et ma confiance dans un espace qui était à créer. Et voilà. Donc ça, c’était 2016-2018. Ensuite, 2019-2020… Bien là, 2016-2018 aussi, je veux juste mentionner, ça a été le moment où je me questionnais beaucoup sur qu’est-ce que je fais avec Aime Ta Marque, vers 2018, naturellement. Qu’est-ce que je fais avec Aime Ta Marque? Est-ce que je vais devoir lâcher mon emploi à temps plein? Parce que, naturellement, je ne suis pas capable de servir les clients de la façon que je voudrais le faire. J’ai organisé des évènements. Je faisais beaucoup de choses quand même, étant employée à temps plein. Même que souvent, les gens me disaient: « je n’aurais jamais su que tu avais une job à temps plein si tu ne me l’avais pas dit. » Ça fait que, tu sais, ils pensaient que j’étais vraiment à temps plein sur ma « business ». Mais veut, veut pas, avec le stress du travail, avec le travail, avec la vision, j’avais rencontré mon mari, j’avais acheté un condo à travers tout ça, et là, je suis tombée enceinte en 2018. C’était magnifique, mais ça m’a amenée à me questionner. Bon, ma santé, mon corps me dit que je dois ralentir. Et je ne voulais pas, encore une fois, abandonner Aime Ta Marque, mais il fallait que je trouve une façon de justifier ou de trouver une façon de travailler là-dessus. Donc là, je savais que mon congé de maternité avec mon emploi, que je me considère très, très chanceuse d’avoir pu avoir, allait être une opportunité pour moi de réfléchir à tout ça et de me poser dans ce que je voulais vraiment créer avec Aime Ta Marque, et de finalement assumer, parce que c’était comme, c’est ta chance, maintenant. Tu vas avoir du temps. Si ça ne marche pas, tu peux retourner à l’emploi. Ils ont une place d’ouverte pour toi. Alors, est-ce que tu peux plus mitiger le risque que ça? Non. Ça fait que là, je me suis vraiment mis à fond dans Aime Ta marque. Et c’est là que j’ai commencé à investir encore plus dans mes mentors qui, à ce moment-là, en 2019-2020, j’ai entamé un coaching avec Mélissa Mayer, un coaching en individuel. Encore une fois, si vous considérez que je faisais, j’ai peut-être eu une année à 10 000, 15 000? Non, en fait, j’ai eu une année à 20 000. Et puis on s’entend, j’avais à peu près 10 000 de dépenses en 2018. Ça, c’était à temps partiel, naturellement. Donc, investir dans un coaching avec Mélissa Mayer, qui était dans les quatre chiffres, quand même, dans les multiples milliers de dollars, c’était quand même élevé pour moi. Mais je sentais que j’en avais besoin, parce que j’ai suivi notamment des programmes de Mélissa et j’ai eu confiance, et je savais qu’elle pouvait m’amener là où je voulais. Parce que moi, la façon dont j’ai toujours choisi mes coachs, c’était est-ce qu’ils ont une entreprise qui ressemble à celle que je veux créer? Ça a toujours été ça ma condition. C’était est-ce qu’elles ont une entreprise ou une vision de l’entreprise qui ressemble à celle que je veux créer? Et, dans le cas de Mélissa, elle avait déménagé à Hawaï et tout ça, elle avait une entreprise pour des femmes qui avaient cette dimension de spiritualité là. Mais ce que j’aimais avec Mélissa, aussi, c’était son côté très terre à terre, et donc pas juste dans la spiritualité. Mais elle m’a aidée, notamment, à aller chercher plus l’essence de qui j’étais. Et puis, elle me donnait ce « feedback », encore une fois. Puis pour moi, avoir le « feedback » d’entrepreneurs qui réussissent, puis qui sont capables de me dire voici ce que moi, je vois en toi, voici ce que je vois comme opportunité, puis voici ce que moi, je vois comme blocage que tu as puis que tu ne t’autorises pas à aller aussi loin. Ça, ça a beaucoup, beaucoup, beaucoup de valeur pour moi. Donc, avec Mélissa, on a travaillé autant au niveau de la vision que de ce qui pouvait me bloquer dans cette vision-là. Donc, c’était un travail beaucoup plus intuitif. Mais, comme je vous le dis, j’étais capable de parler de choses très concrètes, très stratégiques avec elle. Et ça, ça m’a beaucoup, beaucoup plu et ça m’a beaucoup aidée. Surtout que j’étais dans le début de mon congé de maternité. J’apprenais à être maman et c’était un gros changement identitaire pour moi. Et j’ai pu en discuter, notamment avec elle, de ce que je vivais au niveau de ma féminité. En 2019, j’imagine que c’était plus autour de 2018, mais 2019-2020, je me suis vraiment beaucoup investie aussi dans le contenu de Brooke Castillo, qui est une coach américaine, une coach de vie américaine qui a un empire de coaching, rien de moins. Et quand j’ai découvert ses podcasts, The Life Coach School, j’ai été complètement transformée. Je me suis mis à les écouter, genre, un à la suite de l’autre. Je les mangeais, je les dévorais, ses podcasts, parce que c’était tellement ce dont j’avais besoin au niveau du « mindset », au niveau de l’entrepreneuriat, au niveau de, encore une fois, dépasser des pensées limitantes, des façons que je réfléchissais que je ne me responsabilisais pas assez, nécessairement, par rapport à mes pensées, mon bonheur et mes actions. Alors que moi, je me considérais quelqu’un qui se responsabilise beaucoup face à ses résultats, etc. Mais Brooke Castillo m’a apporté beaucoup de perspective, et j’ai rejoint son « membership » qui, à ce moment-là, c’était, bon, quelque chose comme 400 dollars US par mois, ce qui est quand même, encore une fois, assez considérable. Son « membership » pour apprendre d’elle directement, voir, puis encore une fois, voir comment ses modèles d’affaires fonctionnent. Parce que, « obviously », quand tu es entrepreneur, oui, c’est qui tu es, oui, c’est ce que tu as à offrir, mais le modèle d’affaires, c’est quelque chose qu’on expérimente, selon moi. Et on peut les apprendre dans des livres. On peut les mettre en place, mais tant qu’on ne l’a pas expérimenté, puis qu’on a vu comment ça nous fait sentir, on est jamais vraiment sûr si c’est ça qu’on veut mettre en place. Puis j’étais curieuse de voir ce que Brooke Castillo allait amener. Elle m’a beaucoup aidée aussi au niveau de mon corps, de la façon dont je gérais aussi mes émotions. En fait, c’est beaucoup ça que Brooke Castillo m’a aidée, c’est comment je gérais mes émotions par rapport à la personne que je voulais devenir. Et ça, ça a été un gros, gros apprentissage personnel. Beaucoup, oui, beaucoup dans, encore une fois, avec Mélissa Myer, beaucoup dans le ressenti, mais beaucoup dans l’être plutôt que le faire. Et j’ai l’impression que pour moi, mes coachs ont toujours été, ça a toujours été à ce niveau-là que j’allais chercher. Comment est-ce que je peux être, plutôt que de me dire quoi faire. Parallèlement, j’ai découvert aussi James Wedmore. C’est Rim qui m’avait parlé de James Wedmore, qui a son podcast qui s’appelle « Mind Your Business Podcast ». Je n’ai jamais consommé de produit de James, mais j’aime beaucoup, encore une fois, le côté plus humain et spirituel de l’entrepreneur. C’était parler de l’entrepreneuriat, mais encore une fois, par la perspective de la personne, par la perspective des pensées, par la perspective du devenir. Ça, ça marque beaucoup la façon dont moi j’enseigne, dont moi je veux transmettre l’information. C’est de dire oui… Encore une fois, on a des objectifs de revenus, on a des objectifs de « whatever », mais qui on veut devenir? Puis j’ai l’impression que ces mentors-là m’ont beaucoup aidée à trouver la façon dont moi, je voulais exprimer ce type d’entrepreneuriat et ce type de transformation là auprès de mes clientes, à travers l’histoire, à travers le « branding », à travers l’image de marque et à travers le positionnement. Donc, James Wedmore, encore une fois, quelqu’un assez spirituel. Puis moi, j’aime écouter des podcasts, parce que ça me donne tout le temps des idées de réflexion. Puis après ça, je les intègre, je les digère à travers des infolettres, à travers des publications que je fais. Puis je les rends vraiment très personnelles, parce que c’est ma réflexion sur quelque chose qui a allumé dans ma tête avec ce type de contenu. Je le connaissais depuis 2016, lui aussi, parce qu’il faisait partie des cercles entrepreneuriaux dans lesquels j’évoluais. Mais, j’ai aussi commencé à parler davantage à Mathieu Dumont. Et là, il y avait son podcast avec Dave Ruel que j’adore aussi, Les instigateurs. Donc ça, c’était un podcast que je m’assurais d’écouter aussi, parce que j’adore la façon dont Mathieu a cette approche, encore une fois, un coaching très humain, mais très terre à terre. C’est vraiment ça ma niche. C’est comme ça qu’on me niche. Très vrai, mais empathique. Et évidemment, on voit que Mathieu « care » pour ses clients, il « care » pour le succès, et j’avais envie d’avoir cette énergie masculine aussi dans mes mentors. Parce que j’admire beaucoup cette « drive » et cette pose que Mathieu et Dave ont. Et bon, alors là, j’ai fait du coaching plus, c’était des appels, lui appelle ses traitements chocs, avec lui. J’en ai fait quand même plusieurs. En fait, je crois que j’ai pris une banque d’heures avec lui. Et je me rappelle, on s’était rencontrés, ma sœur se mariait. C’était juste avant la pandémie. C’était vraiment le plus bas de mon postnatal. Je ne me sentais pas bien dans ma peau. Je ne me sentais pas bien dans mon corps. Je ne me sentais pas bien dans ma tête. Je ne me sentais pas bien dans mon entreprise. Mais j’avais quand même de la vision. J’avais quand même envie de mettre des choses en place, et je savais que j’étais capable de le faire, si seulement je prenais sur moi, je prenais la responsabilité des résultats que je voulais créer. Donc, j’ai fait appel à Mathieu. On a parlé… Avec Mathieu, ce qui est le « fun », c’est sa capacité à « mapper » des modèles d’affaires, à systématiser des « process », et aussi sa grande expérience avec la gestion d’équipe, avec les différents modèles d’affaires. Parce que c’est un entrepreneur en série aussi. Donc, c’est ça que j’allais chercher chez lui. C’était quelque chose de, encore une fois, une perspective d’expérience et de voir, de faire « challenger » mes idées par quelqu’un qui en avait vu plus qu’une. Donc ça, c’était… Puis encore aujourd’hui, quand j’en ai besoin, je contacte Mathieu pour voir s’il a un moment à m’accorder, parce que je respecte beaucoup son opinion et sa vision des choses. Et je pense que rendu à aujourd’hui, il me connaît quand même assez bien. Il connaît mon contenu, il connaît ce que je fais, la qualité de ce que je fais. Et ça m’a toujours aidée, justement, à savoir que j’avais des gens comme lui autour de moi, vers qui je pouvais me tourner si j’en avais besoin. Et, parlant de gens qui sont dans mon entourage et vers qui je me tourne fréquemment pour demander conseil ou parler d’une expérience ou ventiler mes frustrations, il y a Alexandra Martel, de qui je me suis beaucoup rapprochée, aussi, dans les dernières années, surtout à partir de 2019-2020. Parce que, notamment, j’ai décidé d’investir dans sa certification de « copywriting ». Et puis, ça faisait quelque temps, on avait échangé sur le podcast. On avait une bonne « vibe », parce que j’aime aussi son intellect. On a vraiment ce degré de proximité, je trouve, intellectuel, qui fait que c’était très facile de parler avec elle et d’aller aussi en profondeur que je le voulais, ce qui est quelque chose que je m’étais toujours peut-être réfrénée de faire, de peur d’avoir l’air trop intellectuelle, de peur d’avoir l’air trop intense ou peu importe, et que les gens n’étaient comme pas intéressés à aller aussi loin. Mais, avec Alexandra, c’est quelque chose que j’ai beaucoup apprécié d’elle. Donc, c’est devenu mon amie entrepreneur, un peu comme Rim, un peu comme Annelise, un peu comme Mathieu. Mais j’ai aussi décidé d’investir dans son expertise professionnelle en devenant certifiée de Les mots pour vendre, parce que je voulais, encore une fois, et puis c’est ça la thématique, expérimenter son modèle d’affaires et connaître la profondeur de son expertise qui, si on regarde n’importe quoi qu’elle fait, est déjà très, très, très, très profonde, très large. Mais là, je voulais être à la source, je voulais être la plus proche possible d’elle, dans un contexte d’apprentissage ou dans un contexte de… Pas d’apprentissage, que je dirais comme, pas d’osmose, mais comme quand on va chercher par… Le mot m’échappe, on va s’infiltrer de cette vision-là. Et donc, j’ai participé à cette certification-là d’un an. Encore une fois, pour une entreprise qui venait de se lancer à temps plein, parce qu’on s’entend, j’étais en congé de maternité. Oui, j’avais le temps, mais là, on parlait d’un investissement dans les cinq chiffres alors que mon entreprise, on était à la mi-année. Ça s’annonçait bien, mais je ne savais pas exactement combien j’allais faire d’argent. Je ne savais pas exactement qu’est-ce qui allait se passer. Puis, si vous savez bien, on était dans la pandémie. C’était la pandémie à ce moment-là. Donc, une mentore, quand même, que j’ai encore aujourd’hui et qui, mentore, amie, on est clientes les unes des autres, peu importe qui se passe, collaboratrice et collègue, confidente, bref. Donc, encore une personne avec qui j’ai de belles affinités et qui m’a aidée à comprendre aussi un autre degré. Parce que moi, bon, on s’entend, je ne voulais pas devenir « copywriter » dans le sens rédactrice « copywriter », mais j’ai aimé d’avoir cette possibilité-là, de rester dans ce que moi j’avais comme vision de créer pour Aime Ta Marque et de pouvoir aller chercher ces outils-là que, « obviously », elle a fait beaucoup de recherche pour acquérir. Et finalement, 2021, qui est l’année en cours. J’ai encore, je ne sais pas combien, il faudrait que je compte combien d’argent j’ai dépensé en coaching, mais là, ça a été, j’ai augmenté encore une fois mon budget de coaching en commençant l’année avec un coaching plus « mindset », stratégique, encore une fois, avec Marie-Eve Michaud, qui est une coach en leadership intentionnel, en performance intentionnelle. Et encore une fois, Marie-Eve, une personne avec qui j’avais eu la chance d’échanger. Elle a été invitée dans Positionnement Authentique, qui était mon programme que j’avais lancé en janvier, pour venir faire un atelier. Parce qu’on sentait qu’on avait des affinités. Encore, on sentait qu’il y avait des choses qui étaient complémentaires dans nos approches, dans notre façon de voir la vie. Et, pendant qu’on discutait de toutes ces collaborations-là, je me suis dit « you know what », je veux moi aussi avoir l’expérience d’avoir un coaching avec toi. Elle, elle a fait plus de la PNL, mais elle est beaucoup axée avec les personnes qui sont à haut potentiel, les personnes qui… Et ce que j’aimais, avec l’énergie de Marie-Eve, c’était que c’était une énergie beaucoup plus calme, beaucoup plus « subdued ». Tu sais, comme très, très introvertie, très douce, mais en même temps, encore une fois très profonde, très intense, et « challengeante » dans un sens, de venir « challenger » des choses qui étaient difficiles. Puis moi, c’est de ça que j’ai besoin dans la vie. C’est comme, je vais faire le travail, mais il faut des fois qu’on me dise tu es capable d’aller plus loin. Et puis le plus loin, la seule jauge de ce plus loin là, je veux que ce soit moi. Je veux que ma coach me dise: « ah, c’est là que toi tu bloques, mais tu peux aller plus loin si tu le désires. Puis il n’y a pas d’autre barème qui détermine jusqu’où tu peux aller que toi. » Et ça, je l’ai ressenti avec Marie-Eve. Et je trouve que c’était un coaching qui était un peu plus « challengeant » au niveau émotionnel, dans un sens, qui était comme intéressant. Parce que j’aime aussi échanger avec des gens qui sont, des fois, qui viennent générer des émotions chez moi qui ne sont pas toujours confortables. Puis, pour moi, ce n’est pas négatif. En fait, c’est vraiment positif, parce que si quelqu’un me rend inconfortable d’une façon ou d’une autre et puis que rationnellement, il n’y a absolument rien à… Tu sais, je veux dire, on ne m’a pas insultée ou on n’a pas été méchant avec moi ou on n’a pas dit des choses comme… Il n’y a aucune mauvaise « vibe », bien là, je me dis c’est parce qu’elle est venue toucher à quelque chose que peut-être j’ai moi-même peur d’aller chercher. Puis je trouve que Marie-Eve, elle a ce courage d’aller avec ses clients à ce niveau-là. C’était intéressant, parce que la mise en contact avait été faite par un de mes clients que j’apprécie aussi beaucoup, et qui avait été coaché par elle. Donc, comment les relations se créent et puis les « networks » et les relations clients-fournisseurs. Encore une fois, c’est très flou. On n’est jamais juste un client. Il y a toujours un côté relationnel qui nous amène ailleurs. 2021, du côté des Américaines, j’ai rejoint le « membership » de Rachel Rodgers, qui était The Millionnaire, de Hello Seven. Ça fait que tu sais, dans le fond, ce que je trouvais aussi intéressant avec Rachel Rodgers, c’est que bon, elle a toute cette optique aussi d’inclusivité dans son coaching. Rachel Rodgers, qui est ancienne avocate, qui s’est tournée vers le coaching d’affaires, coaching « business », et qui avait parlé lors de l’assassinat de George Floyd par rapport à l’industrie du coaching. Et j’avais trouvé son courage vraiment commandable. J’ai vraiment beaucoup aimé le contenu qu’elle a créé autour de ça. Puis ça m’a ouvert les yeux à ce côté plus coach engagée qui veut justement changer les choses, qui veux avoir de l’impact et qui assume son féminisme, qui assume son côté plus de gauche, qui assume qu’elle veut combattre les oppressions systémiques. Et quelque chose que je trouvais que beaucoup de coachs se gardaient dans un espace « safe », et c’est notamment ce qu’elle déplorait de la part des coachs, de dire comme, il faut « speak up », il faut qu’on parle, il faut qu’on prenne une position. Et ce n’est pas parce qu’on pense qu’on va froisser certains de nos clients qu’on ne peut pas avoir des valeurs fortes et de dire je suis prête à avoir un coup sur mon chiffre d’affaires, tant et aussi longtemps que je garde mes valeurs à la bonne place et que je dis ce que j’ai à dire et que je ne reste pas dans le silence par peur de la rétribution. Et ça, j’ai trouvé ça magnifique, et j’ai voulu faire partie de cette énergie-là. Donc, je me suis jointe à son « membership » et j’ai fait quelques-uns des programmes qui étaient inclus là-dedans. Et ça m’a ouvert, justement, vers quelque chose dans lequel je voulais être encore plus engagée à travers ma propre entreprise, moi qui… Bon, je n’ai pas la langue dans ma poche, puis j’aime dire les choses, mais je me disais je peux aller encore plus loin, je peux être encore plus assumée dans ce que je fais et aussi assumer qu’en tant que coach, on a cette responsabilité de leadership. Pour moi, 2021, c’était vraiment beaucoup dans le leadership, et ça m’a menée, aussi, juste quelques mois plus tard, donc à la fin mars, à rejoindre un programme qui, cette fois-ci, était à un autre amplitude d’investissement. On parlait de presque 30 000 dollars canadiens, alors que ma première année à temps plein, j’ai fait mon 100 000. Mais là, on s’entend, c’était le tiers de presque tous mes revenus, et j’ai pris cette chance. C’est le coaching de Mariah Coz, qui s’appelle High Ticket Hybrid. Et puis, encore une fois, c’est parce que dans ce coaching-là, elle montrait… Et puis bon, j’ai parlé à des gens qui faisaient partie de ce coaching-là. Et, naturellement, bon, j’ai pondéré la décision quand même assez longtemps, mais je ne pourrais pas être plus satisfaite de ma décision aujourd’hui, parce que c’est ce qui me permet aujourd’hui de créer un programme comme Money Brand, qui est exactement le modèle d’affaires que je voulais créer. Et encore une fois, ce que je trouve le « fun » avec Mariah Coz, elle est très engagée, elle n’est pas dans le publier pour publier. Elle n’est pas dans la popularité, dans la visibilité à tout prix. Elle est dans l’expérience client, dans le service client. Elle est dans la qualité, genre, à un degré que, encore une fois, j’adore la qualité de ce qu’elle offre, et ça m’a fait reconsidérer aussi c’est quoi, pour vrai, la qualité d’un programme, d’une transformation, d’un service. Et je suis encore dans le programme, naturellement. Je n’ai pas terminé mon accès. Mais le degré d’apprentissage et le degré de développement que je me suis amenée à avoir… Parce que bon, encore une fois, le coaching est très « business », très opérationnel, beaucoup d’outils, très tactique, technique, mais aussi stratégique, et aussi « mindset », chose que j’ai absolument besoin. Et ce que j’adore avec ça, aussi, c’est l’accès à la communauté, qui me permet d’échanger avec d’autres personnes qui sont, encore une fois, rendues là où je voudrais être. Parallèlement, puis je ne l’avais pas noté, mais là, j’y pense, j’ai aussi découvert Marie Poulin, qui est une experte Notion. Puis vous direz Notion, c’est très, très opérationnel. Mais, ce qui est le « fun » avec Marie Poulin… Et moi, j’ai rejoint aussi son programme, Notion Mastery, c’est que ça m’a permis de réfléchir aussi, encore une fois, à l’expérience client. Mais aussi, Marie Poulin… Encore une fois, j’aime émuler le degré de qualité que je vois chez d’autres personnes, surtout quand on est à un niveau un peu plus intellectuel, un peu plus avancé, un peu plus poussé. Vraiment des expertes qui s’assument comme expertes. Puis ça, je pense que ça a été vraiment le gros « shift » de « mindset » entre 2016 et aujourd’hui. C’est comme, j’assume encore plus ma notoriété d’experte. Parce que, ça a été prouvé, ça a été prouvé à travers mes clients, ça a été prouvé à travers mon contenu, ça a été prouvé à travers les gens qui gravitent autour de moi, à travers les opportunités qui s’offrent à moi. Et Marie Poulin est une de ces personnes que j’aime suivre, parce qu’elle va chercher des thématiques, des sujets à un degré de profondeur qui me plaît, qui me satisfait énormément. Ces temps-ci, je travaille beaucoup. Là, mettons, la deuxième partie de 2021, ça a été axé beaucoup vers le personnel. Et ce que j’ai identifié comme la prochaine chose à travailler, ou la chose que je suis en train de travailler en ce moment, c’est mon aisance dans le plaisir, dans le désir et dans ma réalité de femme, dans mon identité de femme. Et ça, c’est super intéressant. Puis, pour m’aider dans ce cheminement-là, en ce moment, ma mentore, c’est Kimberly Rose Pendleton, qui a un PhD en études féministes, qui a enseigné à Johns Hopkins, et qui est coach, qui est « intimacy coach », coach d’intimité, j’imagine. Mais ce n’est pas genre, OK, genre coach pour couples, blablabli, blablabla, mais vraiment au niveau, comment est-ce que ton intimité envers toi-même t’aide à « show up » dans le monde d’une façon qui est intègre avec qui tu es, qui est vraie, qui est authentique et qui vient répondre à ce que tu as vraiment besoin dans la vie. Donc là, je suis dans son programme aussi, son programme The Intimacy Incubator, qui est vraiment comme un programme sur une année aussi. Et parallèlement, je suis beaucoup de femmes dans cette optique-là, qui sont des femmes qui sont capables d’aller chercher la puissance du féminin pour générer de l’argent, mais aussi avoir de l’impact. Puis là, je pense à des femmes comme Cassie Howard, Julia Wells, Melanie Ann Layer, qui, pour moi, sont en ce moment des femmes que je suis de près. Parce que, encore une fois, si vous comprenez un peu comment ça fonctionne dans mon monde de mentorat, je vais chercher des mentors qui ont cette degré de corporisation ou qui assument cette identité que je veux aller chercher pour moi-même ou que je veux aller développer dans moi-même. Et je pense que c’est ça qui est le plus important dans ce type de relation, encore une fois, mentorat-mentorée, mais aussi les gens qu’on choisit pour parler dans notre oreille, de savoir est-ce qu’on est en train de créer notre prochaine réalité? Et l’autre chose que je voulais peut-être juste ajouter, c’est que moi, je suis quelqu’un qui aime apprendre des meilleurs. C’est la raison pour laquelle j’avais rejoint la certification d’Alexandra Martel. C’est la raison pour laquelle j’avais rejoint le « membership » de Brooke Castillo, et c’est la raison pour laquelle je vous dis j’ai « back out » d’un programme de coaching, parce que je voulais me faire certifier coach, parce que je me suis dit, je ne vais pas prendre ce programme-là, je veux être certifiée coach par la coach que je respecte le plus, Brooke Castillo. Pour moi, ça m’aide aussi à mettre des barèmes de ce que je veux dans le développement futur. Parce que je ne veux pas nécessairement « the second best » ou le troisième meilleur. Je veux vraiment aller chercher l’expertise à la source. Moi, j’ai toujours été comme ça. J’ai toujours été quelqu’un qui allait lire le livre et non les « reviews », voir le film et non les commentaires, non les articles. Moi, je veux me faire mon opinion. Je veux intégrer les outils à ma façon. Et c’est pour ça que je suis en train de préparer le terrain pour aller chercher un coaching encore plus haut niveau que ceux que j’ai fait jusqu’à présent, pour arriver dans ce stade de développement que j’envisage pour moi-même et pour mon entreprise. Ouf! Alors voilà, ça fait beaucoup de monde, beaucoup de « name drop », comme je vous ai dit. Je vais vous mettre les liens pour aller visiter leur page si vous voulez. Encore une fois, je voulais faire cet épisode 100 comme un hommage à toutes ces personnes qui ont contribué à la personne que je suis aujourd’hui. Naturellement, il y a tout un historique qui vient pré-entreprenarial aussi. J’aurais pu m’embarquer dans quelque chose de très, très, très, très long. Mais là, je voulais vous pointer vers ces ressources que je trouve intéressantes et que je voulais mettre de l’avant, parce qu’elles m’ont énormément aidée à cheminer, qu’elles le sachent ou non. Parce que parfois, comme Brooke Castillo, Rachel Rodgers, elles n’ont aucune idée de qui je suis, mais leur contenu m’a beaucoup, beaucoup fait cheminer et évoluer. Voilà! Petite note que le podcast va prendre une petite pause. On va revenir avec une petite pause d’une durée indéterminée, mais n’hésitez pas à m’écrire, à commenter, à écouter les anciens épisodes et aussi à laisser des avis sur iTunes pour signifier que vous aimez ce contenu. Parce que veut, veut pas, comme créatrice de contenu, 100 épisodes de podcast, 300 articles sur le blogue, tu sais, à un moment donné, je comprends que vous aimez ça, mais manifestez-vous. C’est toujours quelque chose qu’on aime entendre et qui nous permet aussi de voir quels épisodes qui ont résonné? C’est quoi les sujets que vous voulez entendre? Et qu’est-ce qui vous fait cheminer, vous? Parce que si vous, vous écoutez ce podcast, et que moi, je peux agir comme mentor pour vous, bien moi, je veux être capable de vous donner aussi ce dont vous avez besoin, selon là où vous êtes rendues, selon là où vous voulez aller. Voilà! Je vous souhaite vraiment, on arrive à la fin 2021. Ça a été une année absolument magnifique pour moi. J’ai adoré cette année. J’ai hâte de savoir ce que 2022 nous réserve. Et j’espère que vous aussi, j’espère que vous entamez aussi cette dernière partie de l’année avec beaucoup d’optimisme. Et si ce n’est pas le cas, sachez qu’il y a un lendemain. Je ne veux pas minimiser ce que vous êtes peut-être en train de vivre, mais sachez que je suis là pour vous. Les contenus sont là pour vous, les infolettres sont là pour vous, si vous voulez vous abonner. Et je vous souhaite vraiment bonne route dans ce que vous êtes en train d’entreprendre. Ça prend du courage d’être entrepreneur. Ça prend du courage de vouloir notre propre succès. Et pour ça, je suis extrêmement honorée de vous compter autour de moi. À bientôt! Passez une belle soirée, passez une belle journée, passez une belle semaine, et on se revoit probablement l’année prochaine. Salut les ambitieuses! J’aimerais faire de ce podcast une plateforme d’échanges et de réflexion autour de ce que ça veut dire être une femme et avoir du succès aujourd’hui. Si tu connais une femme dont le parcours inspirant aurait intérêt à être partagé, ou si toi-même pourrais nous outiller grâce à ton expertise ou ton expérience, rends-toi sur juliej37.sg-host.com/invité pour m’envoyer les détails. Et finalement, profites-en pour t’abonner à ce podcast afin de ne manquer aucun des épisodes. Et si tu es dans un mode généreux, laisse-moi donc un cinq étoiles pour aider d’autres femmes comme toi à découvrir le podcast. À la prochaine!

à propos de l’auteureTatiana St-Louis

Adepte de littérature russe et collectionneuse de lunettes de designer, Tatiana a fondé Aime Ta Marque pour donner des outils aux femmes de carrière et entrepreneures pour mieux raconter leur histoire personnelle. Spécialiste des communications basée à Montréal, elle s'implique au sein de plusieurs communautés visant au développement professionnel des femmes.
Ep. 100 Hommage à mes mentors business

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